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Appel financier à la création d’un local antifasciste et libertaire

Publié le 7 juillet 2018

Soutien à la création d’un local unitaire

Publié le 4 juillet 2018

POUR QUE NOTRE UNION FASSE NOTRE FORCE, VIVEMENT UN LOCAL ROUGE, NOIR ET ANTIFASCISTE À TOULOUSE !

Face aux attaques capitalistes et gouvernementales sans précédent que nous subissons actuellement, nous devons plus que jamais nous organiser de manière efficace. À Toulouse nous manquons cruellement d’un lieu de rassemblement antifasciste et libertaire. Sans un local, nous sommes souvent contraint de brider nos activités et notre visibilité locale.

C’est pour combler ce manque qu’Alternative libertaire, la Coordination des Groupes Anarchistes, la Confédération Nationale du Travail et l’Union Antifasciste Toulousaine ont décidé d’initier un projet de local commun. Nous voulons faire de ce local un outil au service des luttes, un espace ouvert de rencontre et de solidarité. Débats, soirées, projections, bibliothèques, permanences… en perspective. Bref, un lieu d’organisation pour la lutte sociale et la révolution.

Nous comptons ouvrir ce local pour la fin de l’année 2018. Nos finances n’étant pas celles des macronistes, nous avons besoin de votre participation financière pour rassembler la somme de départ nécessaire au lancement du projet. Nous lançons donc une campagne de financement participatif afin que les personnes qui luttent contre le fascisme, le capitalisme et toutes les oppressions puissent le soutenir et disposer d’un lieux pour se réunir, s’informer et s’organiser.

POUR QUE NOTRE UNION FASSE NOTRE FORCE, VIVEMENT UN LOCAL ROUGE, NOIR ET ANTIFASCISTE À TOULOUSE !

Vous trouverez ci-dessous le lien pour faire grossir la cagnotte :

http://www.lepotcommun.fr/pot/w9n5az5v

Il est préférable de faire le virement directement sur le compte bancaire suivant :
IBAN : FR66 3000 2040 3900 0011 7110 Z91
BIC : CRLYFRPP

Contact : toulouserevolution@riseup.net

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L’insoutenable productivité du travail à la librairie Floury Frères

Publié le 11 juin 2018

Jeudi 14 Juin, 18h30
Rencontre avec Mireille Bruyère autour de son livre L’insoutenable productivité du travail (Le Bord de L’eau, 2018)

A la librairie Floury Frères, 36 rue de la Colombette – Tlse

*Jeudi 14 Juin, 18h30
Rencontre avec Mireille Bruyère autour de son livre L’insoutenable productivité du travail (Le Bord de L’eau, 2018)
Ne sommes-nous pas devenus trop efficaces ? N’avons-nous pas dépassé la limite du raisonnable quant à notre capacité à produire, quant à notre productivité ? Une productivité désirée non seulement par les chantres du néolibéralisme, mais aussi par la grande majorité des courants critiques du capitalisme. La critique de la croissance déjà ancienne désigne notre désir infini pour la consommation comme source de notre aliénation et de l’impasse écologique dans laquelle nous avons précipité la planète.
Mais, ce désir de consommation infini n’est-il pas l’autre face de notre désir d’efficacité infinie ? De notre désir de maîtrise infinie ? Ne faut-il pas aussi s’interroger sur notre efficacité productive et sur les niveaux de productivité que nos économies ont atteints aujourd’hui ? La critique du capitalisme et de l’économie néolibérale s’appuie souvent sur la possibilité de faire une autre économie plus solidaire et écologique sans remettre en question le lien sacré entre la nécessaire productivité du travail et l’émancipation humaine vis-à-vis de la Nature.
La productivité du travail est alors notre promesse d’infinité et d’abondance, notre mythe occidental et l’économie en est la science. Les débats économiques et politiques se cantonnent sur la répartition des fruits de cette efficacité productive (dividendes, salaires, revenu universel, protection sociale). Mais le problème n’est-il pas l’économie en tant que discours d’efficacité et de productivité ? Ce livre se propose de montrer que l’aliénation actuelle n’est pas seulement la mauvaise répartition des richesses, mais l’injonction toujours renouvelée à la productivité du travail.

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Librairie Floury Frères
36 rue de la Colombette
31000 Toulouse
05 61 63 44 15
Fb : Floury Frères
Mardi -> Samedi : 10-19h30
Dimanche : 10h-13h

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Un volontaire communiste libertaire au sein des YPG raconte Mercredi 6 juin 19h

Publié le 5 juin 2018

Depuis 2014, son rôle de rempart face aux atrocités djihadistes au Moyen-Orient a placé la gauche kurde sous les feux de la rampe.

Ce que l’on sait moins, c’est que dans les zones qu’elle contrôle, et notamment au Kurdistan syrien (Rojava) elle a favorisé l’essor d’une contre-société sur des bases féministes, sociales, démocratiques et, d’une certaine façon, laïques.

Pour cette raison, elle fait peur aux tyrans de la région : les régimes turc, iranien ou syrien.
Cette situation inédite appelle un soutien de toutes et tous les révolutionnaires et anticolonialistes sincères.

Un soutien acritique ? Nullement car, comme tout processus révolutionnaire, celui-ci court des risques : une dérive autoritaire est toujours possible, de même qu’une instrumentalisation par des puissances étrangères (États-Unis, Russie, France…).

C’est de tout cela que nous voulons parler. Alternative Libertaire Toulouse et la Coordination des Groupes Anarchistes – Toulouse vous invitent donc mercredi 6 juin à partir de 19h à La Chapelle.

//////////////////////////////// PROGRAMME ///////////////////////////////////////

– Projection du film de Chris den Hond et Mireille Court, « Rojava, une utopie au cœur du chaos syrien » (45 minutes) ;

– Présentation du livre « Kurdistan Autogestion Révolution », éd. AL, mars 2018 ;

– Intervention d’Arthur Aberlin, militant communiste libertaire français engagé dans les YPG en 2017.

– Intervention (sous réserve) de deux autres militants révolutionnaires engagés entre 2016 et 2018. kurdistan 001 Lien vers l’événement facebook : https://www.facebook.com/events/479224145843016/permalink/484917415273689/

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Cortège révolutionnaire le 1er mai

Publié le 27 avril 2018

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1er mai, Cortège antifa et libertaire

Image Publié le 24 avril 2018

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LA MANIFESTATION DU JEUDI 22 MARS A TOULOUSE, rendez-vous à 14H30 à ARNAUD BERNARD

Publié le 18 mars 2018

LA CIP MP (COORDINATION DES INTERMITTENTS ET PRÉCAIRES MIDI-PYRÉNÉES)

APPELLE À LA MANIFESTATION DU JEUDI 22 MARS A TOULOUSE,

rendez-vous à 14H30 à ARNAUD BERNARD

Le gouvernement Macron et le MEDEF veulent enterrer notre modèle social pour préserver leurs privilèges et augmenter leurs profits

Ne les laissons pas faire ! Faisons converger nos luttes !

Dans la 5ème puissance mondiale les moyens existent pour assurer une vraie protection sociale à tout le monde.

L’assurance chômage doit rester un droit fondamental pour tous et toutes: exigeons que toutes les formes de chômage, d’intermittence du travail et de précarité soient rémunérées

Tous les chômeur.ses doivent être indemnisé.es ! y compris pour les jeunes et les primo-demandeurs d’emploi (Minimum SMIC pour toutes et tous)

Ils attaquent sur tous les fronts :

Code du travail attaqué, contrats aidés supprimés, APL diminuées, éducation et santé sacrifiées,

Cotisations patronales exonérées, ISF allégé, CICE prolongé, licenciements facilités,

Exilé-es maltraité-es, expulsé-es, état d’urgence prorogé, Etat policier pour société macronée,

Profits explosés, précarité organisée

Contre le démantèlement de l’assurance chômage, de la sécu (retraites, assurance maladie,..) et des services publics, et parce que les régressions sociales ne sont pas des réformes.

Notre pays compte aujourd’hui :

– 6 millions de chômeur/ses dont 6 sur 10 ne sont pas indemnisé-es
– 10 millions de personnes en situation de précarité : chômeur/ses, travailleur-ses précaires (intérimaires, intermittent-es, temps partiel, apprenti-es, stagiaires, saisonnier-es, étudiant-es, auto-entrepreneur-ses…), retraité-es….
– 86 % des emplois créés sont des CDD dont plus de la moitié sont des contrats courts.

Pour ceux qui travaillent dans le privé: peur des licenciements, peur du plan social, suicides et burn-out dans les entreprises. La privatisation des services publics fait la part belle aux sous-traitants. Le nombre de fonctionnaires diminuent. La santé, l’école, la poste….sont laminées.
Le capital nous oblige à travailler de plus en plus longtemps pour prétendre à des droits à la retraite ; des droits qui, eux aussi, feront l’objet d’une nouvelle attaque en 2018.

Aussi, pour ne plus subir, pour ne plus être l’otage permanent du patronat et tout simplement pour pouvoir Vivre il nous faut des droits, des droits au travail mais aussi et des droits au chômage pour toutes celles et ceux qui n’ont pas de travail ou qui sont confronté-es à la discontinuité de l’emploi 
De tels droits, au minimum SMIC, auraient un double effet, déjà celui de sortir de la pauvreté et de l’insécurité sociale des millions de personnes…. Mais aussi de permettre à celles et ceux qui ont un emploi de moins subir la pression patronale tant sur les salaires que sur les conditions de travail.

Et ceci n’est pas incompatible avec la diminution du temps de travail bien au contraire !

A titre indicatif, 1 % d’augmentation de cotisations patronales rapporterait 5 milliards d’euros !

CE QUE NOUS DEFENDONS, NOUS LE DEFENDONS POUR TOUTES ET TOUS

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Mobilisation contre le glyphosate à Lacaune

Publié le 26 novembre 2017

Bonjour,
Venez nombreux dire non au glyphosate et aux pesticides qui poluent notre alimentation. Merci de faire savoir à vos réseaux et de me dire qui vient.
Alain

Dans le cadre de la lutte contre les OGM « dans les champs et dans les assiettes », les Faucheurs Volontaires ont occupé à plusieurs reprise le site de l’usine Monsanto de Trèbes (11) pour dénoncer leurs produits phares, le glyphosate et les plantes (soja, colza, coton, maïs, etc.) modifiés génétiquement pour lui résister.

C’est pour deux de ces actions que je suis convoqué pour être entendu en tant que témoin mardi 28 novembre à 9 heures du matin à la gendarmerie de Lacaune.

Cette convocation intervenant le lendemain de la décision (ou pas !) de la Commission européenne de renouvellement de l’AMM du glyphosate, il nous parait très opportun de faire le point sur la situation en présence de la presse :

· Raisons et conséquences de la décision, quelle qu’elle soit,

· Précisions sur la crédibilité discutable de l’étude opportunément divulguée juste avant la décision qui prouverait qu’il n’y a pas plus de lymphomes non hodgkiniens chez les agriculteurs utilisateurs de Gly que dans le reste de la population étasunienne …

· Mise au point sur la soi-disant impossibilité de se passer du Roundup

· Et toute questions que vous souhaitez poser.

C’est pourquoi nous vous invitons à une Mobilisation
Mardi 28 novembre à 8 h 45 du matin devant la gendarmerie de Lacaune

Montrons que nous sommes très nombreux pour m’accompagner, mais surtout pour manifester votre refus de continuer à autoriser un poison avéré et demander une autre agriculture, respectueuse de la santé et de l’environnement.

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Contre la violence faite aux femmes

Publié le 25 Mai 2017

Tout d’abord merci pour tous vos messages de réaction, de colère, de soutien, d’amitié, de solidarité à la suite de notre lettre vous informant du meurtre de Danielle.
>
> Comme nous l’avions annoncé, l’Apiaf et les personnes qui ont connu Danielle organisent un événement public à sa mémoire et à celle de toutes les femmes victimes de féminicide, le mercredi 7 juin 2017 dans la cour Marie-France Brive (espace Duranti).
> Nous avons choisi ce lieu parce que Marie-France Brive était une historienne féministe toulousaine qui a travaillé sur l’Histoire des femmes. Pour nous, aujourd’hui, l’histoire de Danielle se mêle à l’Histoire de toutes les femmes.
> L’idée de ce moment, que nous voulons partager, est de prendre un temps pour parler de Danielle à travers ses paroles et à travers des textes choisis pour elle.
>
> Beaucoup nous ont demandé ce qu’ils/elles pouvaient faire pour nous soutenir : venir nombreuses et nombreux à ce rassemblement, être présent-es et solidaires contre les violences faites aux femmes.
> Nous vous attendons le mercredi 7 juin à 18h30 dans la cour Marie-France Brive, 6 rue du lieutenant Pélissié à Toulouse.

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Logement: APPEL A SOUTIEN !!!

Publié le 13 Mai 2017

URGENT !!

DEVENEZ SIGNATAIRE DE NOTRE COMMUNIQUE !

RENVOYEZ NOUS UN MAIL POUR NOUS SIGNALER QUE VOUS VOULEZ DEVENIR SIGNATAIRE !

75 PERSONNES DONT 25 ENFANTS MENACÉES D’EXPULSION
PAR LE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE TOULOUSE !

Bonjour,

Nous sommes des familles, des personnes seules, des femmes seules avec enfants, des personnes âgées et de différentes régions du monde..

Depuis le 19 septembre, nous nous sommes installés dans un bâtiment vide et abandonné de l’hôpital Purpan de Toulouse. Bâtiment sur lequel il n’y a aucun projet et qui est en parfait état.

Malgré nos tentatives de discussion avec la direction, rien… Leur seule réponse a été une assignation au Tribunal administratif de Toulouse en octobre dernier pour demander notre expulsion d’urgence.

Nous avons gagné le procès, la juge évaluant qu’il n’y avait aucune urgence à nous expulser, car nous ne gênons personne, et nous sommes en sécurité dans ce bâtiment.

Mais cela n’a pas suffit à faire accepter à la direction de l’hôpital notre présence. Celle-ci a fait appel de la décision du Tribunal de Toulouse, et nous voilà maintenant assignés au Conseil d’État à Paris pour un nouveau procès.

Et donc à nouveau menacés d’expulsion…

Dans ce monde où l’argent est roi, les droits les plus fondamentaux sont bafoués.

Il est temps de réagir, pour nous, pour les autres, et pour nos enfants.

Ci joint vous trouverez notre communiqué, nous faisons appel à toutes les organisations, associations, collectifs, individus, etc. a être signataires de notre communiqué.

Pour les orgas, assos, collectifs, faites nous parvenir votre tampon, logo si vous en avez.

Pour les individus écrivez nous : Votre nom, votre prénom, votre situation professionnelle et votre ville/ village de résidence.

Nous envisageons par la suite de faire une conférence de presse, afin de rendre public ce qu’il est entrain de se passer, de mettre les responsables politiques et les pouvoirs publics face à leurs responsabilités, et tenter de créer un rapport de force pour contraindre le chu d’accepter un dialogue et de trouver un accord.

Nous demandons à l’hôpital public de soutenir notre action: la santé passe aussi par l’accès à un logement pour toutes et tous.

Nous demandons à l’hôpital public de nous laisser vivre dans ce bâtiment tant qu’il ne l’utilise pas ou que des solutions de relogements ne sont pas trouvées pour tou-te-s les habitant-e-s !

Collectif Lascrosses

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La nécessité d’une conscience politique dans les métiers de l’intervention sociale et socioculturelle

Publié le 9 Mai 2017

Bonjour,
ça se passe à l’Espace JOB

le JEUDI 18 MAI 2017

[De 14:00 à 17:00 – Gratuit]

voir le lien

http://collectif-job.com/index.php/festival/2017-04-18-14-34-24/ateliers-debat.html

Amitiés autogestionnaires

NB : il faut réserver !

le programme complet « le vent se lève à JOB » :
http://www.collectif-job.com/index.php/festival/2017-04-18-14-34-24/6eeditionfestival.html

Café participatif

C’est une gageure que de dire que les métiers de l’intervention sociale sont en mutation… ces métiers, qui ont des histoires et des pratiques professionnelles variées, qui peuvent relever des champs de l’économie, de la santé, du logement, de la culture, de l’éducation, etc. doivent en permanence se reconstruire pour s’adapter aux évolutions des sociétés et répondre aux nouveaux besoins qui émergent.

Qu’ils relèvent de l’assistance, de l’éducation, de l’animation, un des fondements de leur action est la question du lien social, de la cohésion sociale. Cet aspect concerne un autre ensemble de métiers, ceux du champ culturel qui se trouvent aussi confrontés à la nécessité de repenser leurs manières de faire.

Et parmi les enjeux de ces métiers de l’intervention sociale et culturelle, il y a bien celui de favoriser ce fameux lien social en permettant à chacun.e de trouver une place, d’exprimer une voix, de s’émanciper. Pour cela, ces professionnels doivent trouver des voies pour faire levier et ainsi développer le pouvoir d’agir et les capacités des personnes. Ces objectifs revêtent une dimension politique, au sens premier du terme, alors est-ce que cela veut dire que ces métiers doivent nécessairement s’exercer en se fondant sur une conscience politique ?

En cette année électorale et plus généralement dans un climat marqué par le désengagement de l’Etat, ou en tout cas, par le repositionnement des pouvoirs publics par rapport aux domaines de l’intervention sociale et socio-culturelle, il nous a semblé que la question méritait d’être posée et pouvait être l’occasion de discuter et de réfléchir ensemble.

Dans le cadre du Festival le Vent se lève à Job, qui se revendique d’une démarche relevant de l’éducation populaire, au sens de moyen visant à décrypter les rapports de domination, à prendre conscience de la place que l’on occupe dans la société, à apprendre à se constituer collectivement en contre-pouvoir, à expérimenter sa capacité à agir, il vous est proposé à vous, étudiants, professionnels des métiers du social, du culturel, du socio-culturel de venir partager un temps de discussion autour de ces questions, sous forme de café participatif (une variante du world café).

Animé par Cécile Vachée et Christophe Dansac de l’IUT Carrières Sociales de Figeac

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